A nouveau, cet atelier est dédié à la construction des ombres des zoomeurs : leurs histoires continuent de prendre formes en images.


D’un bout à l’autre de la pièce, on peut voir une entraide naître : les participants discutent et viennent au secours les uns des autres.


C’est avec surprise que l’on découvre l’attachement de Hadiatou à Claude François et Michel Sardou, que son oncle lui a fait écouter tout au long de son enfance.


De son côté, Domingos a classé ses images dans son ombre par ordre chronologique : elles racontent l’histoire de son pays puis se recentrent sur sa sa propre histoire. Son message est clair, il veut absolument montrer l’importance de développer l’éducation pour se construire un avenir.


Lorsqu’Ana s’approche, il lui présente l’une des images qu’il a choisie. Elle représente les conquérants portugais face à des angolais :

“Ici se trouve ton grand-père, et, de l’autre côté, mon grand-père…”

Ils se regardent. Prennent conscience que leurs histoires respectives se sont déjà rencontrées avant.

Aujourd’hui, c’est jour de paix. Aujourd’hui, ils créent ensemble, pour que demain soit meilleur.